Le miel et les abeilles - Le topic officiel

Quels souvenirs ou anecdotes avez-vous sur cette série ?
Venez discuter ici des intrigues, des personnages, des différents décors...

Comme pour "Les filles d'à coté", je regardais en attendant "Hélène".
C'était pas désagréable mais j'avais du mal avec Lola et ses caprices de pimbêche.
Et je n'ai jamais compris comment 4 mecs pouvaient la suivre comme ça, sachant que, eux aussi, ne semblaient pas avoir de respect pour eux-même et que Lola, de son côté, était comme le voisin de palier des filles, à savoir qu'elle n'en avait rien à faire de ces mecs.

C'est certainement subjectif, mais je détestais Mallorie Nataf, donc la série m'agaçait au plus haut point. 

Les sujets abordés étaient sans intérêt, le public visé n'était pas clair. On était dans un milieu qui se voulait bourgeois mais qui était finalement assez superficiel et qui n'en n'avait pas les codes. C'était un peu décalé sans assumer ce côté là. 

Je n'aimais pas.

Pareil, jamais aimé M. Nataf depuis le début. Les histoires étaient sans intérêt, c’est parti encore plus dans le n’importe quoi avec Giant Cocoo, Ari qui beurrait les tartines, etc…

Cette série aurait dû s'appeler "La bourgeoise et les racailles".
De mon point de vu c'était la première des sitcoms à succès de l'époque qui a le plus sombré (et très vite) dans le ridicule et le n'importe quoi.

Tu oublies le collège des cœurs brisés !

Kumpel a écrit:Tu oublies le collège des cœurs brisés !

Ça n'est pas une sitcom à succès

Certes. Encore heureux.

Ce message n'est peut-être pas dans le bon topic, mais je n'ai pas trouvé mieux !!

Le personnage d'Eric Chambreau, l'une des Abeilles de la série "Le Miel et les abeilles", était joué par Eric Millot... mais l'acteur avait pris un pseudo.
Il s'appelle en réalité Jérôme Delafosse et était dimanche 19 juin 2022 dans l'émission "Planet Liza" sur France Bleu. Aventurier, explorateur et documentariste, il y a parle notamment de son combat pour la préservations des requins.

L'anecdote du tournage chez AB est évoquée brièvement, et il assume pleinement cette période, ayant joué dans la série pour pouvoir financer ses équipements.

Emission dispo sur le site de France Bleu si ça vous intéresse (mon inscription sur forum ayant été validée ce jour... je ne suis pas autorisée à vous mettre le lien )

Merci pour cette info Rigolette  

Je poste l'article et la vidéo ici :

Replay du dimanche 19 juin 2022
Jérôme Delafosse, aventurier explorateur

Dans ce nouvel épisode de « Planète Liza », Bixente Lizarazu reçoit Jérôme Delafosse, aventurier, explorateur et documentariste. Il nous raconte ses voyages à travers le monde entier à la rencontre des peuples de l’eau et son combat pour la préservation des requins.


Jérôme Delafosse est l'invité de Bixente Lizarazu :copyright: Radio France

Jérôme Delafosse, spécialiste des peuples de l’eau dans la célèbre série documentaire de Canal Plus, « Les Nouveaux Explorateurs », est aussi l’auteur du documentaire sur le massacre des requins, Les Requins de la colère. Plus récemment, il a fait le tour du monde à bord d’Energy Observer, le premier bateau propulsé à l’hydrogène et aux énergies renouvelables.

Au micro de Bixente Lizarazu, il nous parle de son parcours hors du commun, de ses rêves d’enfant et de ses combats pour défendre les requins et les océans.

"Les Requins de la colère", un documentaire pour dénoncer le massacre des requins

Né à Saint-Malo, Jérôme Delafosse a toujours été bercé par des histoires de corsaires et d’explorateurs, qui lui ont donné l’envie d’explorer à son tour le monde, mais d’une autre manière. Photographe grand reporter, avant de passer au documentaire, il incarne à partir de 2006 l’émission documentaire « Les Nouveaux explorateurs » sur Canal Plus. Il va ainsi partir à la rencontre des peuples de l’eau et tourner plus de 40 documentaires d’un bout à l’autre de la planète.

C’est au cours de ces nombreuses expériences qu’il commence à côtoyer le monde des requins et à plonger à leurs côtés. Or, en seulement 20 ans d’exploration, il constate une baisse drastique de la population des requins, pourtant présents dans les océans depuis des millions d’années pour certaines espèces, comme les longimanus, les requins océaniques pointes blanches. D’après une étude parue en 2013 dans la revue scientifique Marine Policy, 100 millions de requins seraient pêchés chaque année dans le monde (même si ce chiffre est difficile à établir avec exactitude).

Il veut alors s’attaquer à ce problème et essayer de comprendre pourquoi on tue ces requins, « des seigneurs hallucinants, parmi les plus belles créatures et les plus fascinantes qu’on puisse croiser dans les océans ». Il réalise ainsi Les Requins de la colère, un documentaire qui cherche à déterminer les différentes causes à l’origine du massacre des requins.


D’une part, il découvre que la consommation en Asie de la soupe aux ailerons de requins a des conséquences dramatiques pour les requins : ils sont pêchés en quantité énorme, avant qu’on ne leur coupe leurs ailerons et qu’ils soient rejetés vivants. L’Europe est une plaque tournante très importante de ce commerce, puisque 20 à 30% des ailerons que l’on trouve sur le marché asiatique provient d’Europe, des flottes françaises, espagnoles et portugaises profitant d’une quasi-absence de réglementation pour la pêche aux requins en Europe.

D’autre part, il fait le constat que la pêche au thon est elle-même responsable de la disparition de nombreuses espèces de requins. C’est une « pêche, qui dès lors qu’elle est industrielle, tue un grand nombre de requins. Il y a une pêche qui consiste à mettre des palans, ce sont des lignes qui peuvent mesurer jusqu’à 100 km de long, et pour pêcher un thon, on pêche sept à huit requins. Les requins sont souvent morts sur la ligne une fois qu’ils sont pris, parce qu’ils se noient quand ils ne sont pas en mouvement ».

Jérôme Delafosse s’est ainsi rendu compte que toutes ces espèces, thons et requins, sont considérées comme des matières premières, avec des cours comme pour le blé, le charbon ou le pétrole.  

« Aujourd’hui, que ce soit pour les requins ou pour les thons, malheureusement, tant qu’on considérera les océans comme un puits sans fond, une ressource à ramasser pour s’enrichir, on ne sauvera jamais les océans. » - Jérôme Delafosse

Défendre les océans, la biodiversité et le respect de la nature, c’est le combat qu’entend mener aujourd’hui plus que jamais Jérôme Delafosse, non seulement en militant pour réhabiliter l’image du requin, indispensable à l’écosystème des océans et d’une incroyable beauté, mais aussi à travers « Les Nouveaux Explorateurs » - interrompue en 2014, la série vient de reprendre -, et le tour du monde qu’il a effectué à bord d’Energy Observer.

Pour écouter le replay en intégralité, cliquez sur "Écouter (39 mn)" en haut de l'article disponible ici : https://www.francebleu.fr/emissions/planete-liza/jerome-delafosse-aventurier-explorateur

Cyril Aubin (Johnny dans Le Miel et les abeilles) est-il toujours en contact avec Mallaury Nataf ? Il nous répond



INTERVIEW - Suite de notre rencontre avec Cyril Aubin devenu célèbre dans les années 90 en jouant Johnny, un rocker passionné de Lola (Mallaury Nataf) dans Le Miel et les abeilles. Il revient aujourd'hui sur sa relation avec ses anciens camarades de l'époque Club Dorothée.

Dans les années 90, Cyril Aubin s'est inscrit en tant que véritable icône des sitcoms AB Productions. Son interprétation de Johnny, un rockeur au grand cœur, dans la série Le Miel et les abeilles, a laissé une marque indélébile pour toute une génération. Ce personnage se distinguait nettement de l'ensemble du casting de cette saga produite par Jean-Luc Azoulay et Claude Berda : tatoué mais au cœur tendre et légèrement maladroit, il était éperdument amoureux de Lola, incarnée par Mallaury Nataf. Après 200 épisodes, la série a tiré sa révérence en 1994.

Cyril Aubin a-t-il gardé un contact avec les autres comédiens du Miel et les abeilles ?

Depuis lors, le parcours du comédien s'est enrichi de nombreuses participations à des séries telles que Dix pour cent, ou encore Plus belle la vie, Fais pas ci, fais pas ça, Camping Paradis, Engrenages et H. Actuellement, il s'investit pleinement dans le doublage et le cinéma. Sur les planches parisiennes, il reprend actuellement son rôle dans Le repas de fauves, une pièce triplement moliérisée, aux côtés de Thierry Frémont. Lors d'un entretien exclusif accordé à Télé-Loisirs, Cyril Aubin est revenu sur ses liens avec ses anciens camarades de l'époque Club Dorothée. Le comédien a ainsi gardé le contact avec certains de ses partenaires du Miel et les abeilles. "Gérard Pinteau (le père de Lola dans la série, ndlr), on s'est revus il y a deux ans. Il est dans le Nord, lui, notamment à l'occasion du film Mine de rien. François Rocquelin (Aristide, ndlr) aussi, avec qui on a gardé contact, après je suis parti sur d'autres trucs. Ça arrive dans ce métier qu'on se voit plus, si on retravaille plus ensemble, on se perd de vue, ou des fois on se retrouve", nous explique-t-il.

Cyril Aubin évoque sa relation avec Mallaury Nataf

Cyril Aubin évoque ensuite sa relation avec Mallaury Nataf dans les années 90. "À l'époque c'était amical. On avait même été sur une pièce de théâtre ensemble. Le retour de Monsieur Le Guen. On avait partagé ça aussi. C'était une relation de boulot. Et puis il y a eu ces anniversaires, différents trucs. On s'est côtoyés pas mal quoi. C'était professionnel et amical", précise Cyril Aubin qui n'a plus de nouvelles de celle qui s'est retrouvée à la rue. "Non, je n'ai pas de nouvelles du tout. Les dernières que j'ai eues, ils m'ont demandé de venir chez Cyril Hanouna où j'ai parlé un peu. La dernière fois que je l'ai vue, c'était sur le tournage, j'avais fait un épisode avec eux (Les Mystères de l'amour, NDLR.) et ça s'était bien passé. Je sais pas trop où elle en était dans sa vie. Après, j'ai su les déboires qu'on connaît, mais je n'en sais pas plus".

Cyril Aubin à propos de Dorothée : "Elle m'a donné des petits conseils"

Enfin, l'acteur se souvient de sa relation avec Dorothée : "Jean-Luc Azoulay organisait des dîners tous les mois, quasiment pour chaque série. Et moi, j'étais souvent à côté de Dorothée, donc on papotait. Moi, je lui disais mais en fait, 'moi, je t'admire parce que je t'ai vu dans des films de Truffaut' (L'amour en fuite, ndlr). Et elle m'a donné des petits conseils. On blaguait. Je me souviens que je m'amusais à lui faire une blague avec son paquet de cigarettes, et moi, je m'amusais à enlever le papier translucide et le mettre à l'envers pour bloquer, pour pas qu'elle puisse l'ouvrir. Ça m'amusait beaucoup, elle me disait 't'es bête'. Quand il y avait les grosses émissions, j'aimais bien aller voir un peu. C'est toujours une grande pro avec un sacré parcours. Donc respect", conclut-il.

Retrouvez Cyril Aubin dans Le repas des fauves à partir du 14 septembre une semaine sur deux (Du mercredi au samedi à 21h, les samedis à 16h et les dimanches à 15h) au Théâtre Hébertot à Paris.

Bertrand Gilbertat

L'article source est  ICI

Merci pour cette interview Super Ted  

Je me suis permis de le placer des "Filles d'à coté" vers "Le miel et les abeilles".

J'aime beaucoup ces petites anecdotes avec Dorothée  

Okaya a écrit:J'aime beaucoup ces petites anecdotes avec Dorothée  

C'est pour ça que j'ai posté l'article